Le mois de septembre nous a amené beaucoup de souvenirs d’une époque noire de l’Argentine. De l’époque dont les disparitions étaient monnaie courant et personne ne pouvait ni demander, ni questionner pour les « disparus » car comme disait Jorge Rafael Videla, chef du gouvernement militaire argentin entre 1976-1980
« Face au disparu, en tant que tel, le disparu est une inconnu. Si l’homme apparaissait, il aurait un traitement X, et si la disparition se muait en certitude de décès, il aurait un traitement Z. Mais le disparu ne peut avoir aucun traitement spécifique : c’est un inconnu, un disparu, il n’a pas d’identité, il n’est ni mort ni vivant, il est disparu ».
Dès cette époque jusqu’à aujourd’hui il y a des questions à résoudre.
« Face au disparu, en tant que tel, le disparu est une inconnu. Si l’homme apparaissait, il aurait un traitement X, et si la disparition se muait en certitude de décès, il aurait un traitement Z. Mais le disparu ne peut avoir aucun traitement spécifique : c’est un inconnu, un disparu, il n’a pas d’identité, il n’est ni mort ni vivant, il est disparu ».
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1 commentaire:
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