On se souviendra du 7 avril 2008 comme le jour où un Comité Argentin, présidente inclue, se baladait dans les jardins de la ville de Paris.
Pour ceux qui ne le savaient pas, cette promenade avait un but.
Paris à offert un espace vert pour commémorer les femmes argentines qui ont lutté dans leur pays pendant les années les plus dures, les plus sanglantes, les années de plombs de la dictature Argentine, de la dictature de Videla.
Après 32 ans de lutte pour la vérité, la mémoire et la justice, ces femmes continuent encore à chercher de réponses concernant le sort des victimes ; vivantes ou mortes, mais des réponses toujours...
La France aujourd’hui, fait un geste de solidarité avec les Mères et Grands-Mères de la Place de Mai et soutient cette lutte, au nom des Droits de l’Homme et de la Condition Humaine.
L’inauguration, qui a été accompagnée de représentants de chaque pays ; dont la participation de la présidente de l’Argentine, Cristina Fernandez de Kirchner, Estela de Carlotto, de l’Association de Grands-Mères de La Place de Mai, Marta Ocampo de Vázquez, de Mères de Place de Mai Lígne Fondatrice, le Maire de Paris, Bertrand Delanoë et Philippe Goujon maire du 15°arrondissement. Les deux premiers ont fait un discours dont l’objectif était de rendre hommage au dur labeur et à l’exploit de leur cause.
Finalement et pour émouvoir les 500 personnes qui écoutaient en silence les paroles de la présidente, Cristina de Kircher a fermé son discours avec une phrase célèbre, « nous sommes tous des fils et des petit-fils des Mères et des Grands-Mères de Place de Mai » et voilà les applaudissements…
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